5 questions à ….. Frédéric GUILLEMET
Responsable atelier Thermolaquage – Sbfm grillages & clôtures
1 – Quelques mots sur vous…
Frédéric Guillemet, chef de production au service thermolaquage, mais aussi employé polyvalent à sa façon, hybride dans les services, à la sbfm depuis 17 ans (arrivé en avril 2005), adepte de la course mais aussi de ball-trap et de chasse !
2 – et avant la sbfm ?
J’ai un CAP en peintre carrosserie qui n’aura finalement abouti sur rien à l’époque par manque de débouchés. Je me suis alors engagé dans l’armée pendant une année. De retour, des remplacements dans le secteur de la peinture automobile avant d’intégrer une société de fabrication de peinture liquide. J’y ai appris la colorimétrie, de la recherche de teinte à sa fabrication, pour de la peinture en aérosol et en stick. Puis, un contact thermolaqueur qui se fournissait dans cette entreprise m’a enrôlé dès le démarrage du service Thermolaquage pour la sbfm. J’ai commencé en tant que peintre avant, quelques années plus tard, de prendre le poste de chef d’équipe, que j’occupe toujours.
3 – Votre facette métier préférée ?
La peinture bien sûr mais surtout la gestion des urgences et les challenges que je peux rencontrer régulièrement. J’aime les relever et trouver des moyens de surmonter, des structures hors du commun. Il y a une vraie diversité tant dans la technique que dans les produits.
4 – Si vous deviez vous qualifier – tant à titre professionnel que personnel ?
Disponible. Je suis toujours là quand on a besoin de moi. Je me mets complètement au service de mon entreprise, pas uniquement pour mon service mais vraiment pour l’ensemble de mes collaborateurs. Quand il y a besoin, je suis généralement le premier à donner un coup de main, comme dans ma vie personnelle. J’aime aller de l’avant et embarquer les autres avec moi. Voilà ce qui à mon sens me définit le plus.
5 – Un mot – une phrase – un titre – Une expression pour décrire la sbfm ?
Un mot : « Evolution ». L’évolution de la société sbfm déjà… je suis rentré à l’époque dans un bâtiment vide (on aurait pu y faire du roller tant on avait de la place – rires) puis tout s’est structuré, les machines, les racks, et aujourd’hui on en vient à manquer de place tant la société a évolué !
Mais je prendrais également le mot évolution dans un sens plus personnel, plus humain, puisqu’ici chacun peut évoluer avec l’entreprise et faire partie de l’histoire de la sbfm. Je suis moi-même assez fier de faire partie d’un morceau de l’histoire de la société que j’espère ne quitter qu’à la retraite !